jeudi 28 février 2008
mercredi 27 février 2008
mardi 26 février 2008
lundi 25 février 2008
La liste "Ris Avenir" au fond du lac des alcools
Quelques semaines après son ami-ennemi Maire-adjoint à Bondoufle et candidat UMP aux élections municipales à Ris-Orangis, c’est au tour de la candidate « de la majorité présidentielle » estampillée Ris Avenir, de s’emmêler dans ses fiches de révision.
Toujours point de projet, mais beaucoup de verve pour dénoncer ceux des autres.
L’objet de son courroux assez peu mesuré, et surtout très mal renseigné : le Dock des Alcools. Pas facile, il est vrai, de tenter de faire de l’électoralisme avec un projet travaillé depuis 7 années, et concerté avec les habitants depuis le début.
Prétendre que la zone avait été classée par le PPRI en zone inondable est parfaitement mensonger. La zone est située en zone « bleu ciel », depuis toujours, et donc constructible, comme l’attestent tous les documents et plans du PPRI. Le site, comme tout le bas de Ris-Orangis, est, il est vrai, situé en zone à risque. Depuis toujours la proximité du fleuve a donc été prise en compte dans le projet. De nombreuses études ont ainsi été menées : elles permettent toutes la construction de ce quartier, avec un certain nombre de recommandations. La Préfecture, les pompiers (SDIS) ont donné leur feu vert à la réalisation de ce quartier qui prend en compte les risques de crue décennale, les plus hautes eaux connues.
Contrairement au reste du bas de la ville, le futur éco-quartier des Docks de Ris prend donc en compte ces risques, aussi bien dans les constructions prévues, que dans la création de bassins de rétention qui profiteront à l'ensemble du bas de la ville, ou dans la refonte des réseaux d'évacuation des eaux.
Un plan de stationnement et de circulation sur l’ensemble du bas de la ville est actuellement à l’étude, et des ateliers spécifiques ont été organisés sur ces sujets avec les habitants et des professionnels. Des ateliers et réunions auxquels, il est vrai, la candidate de Ris Avenir a brillé par son absence, tout comme d’ailleurs à chacune des 60 réunions de la commission municipale urbanisme (dont elle est membre) organisées durant le mandat, et chargée de faire régulièrement le point sur l’ensemble de ce projet.
Si elle y avait assisté, elle aurait également appris que 500 logements sont prévus sur l’ensemble du secteur Dock des Alcools et CAES, et non 600 sur le seul Dock comme prétendu dans la propagande de Ris Avenir.
Le budget du projet, chiffré à 19 643 000 euros est entièrement supporté par l’aménageur, l’AFTRP, et ne coûtera pas un centime aux Rissois. Prétendre le contraire relève de la malhonnêteté politicienne et de la manœuvre électoraliste.
Sur ce budget, 1 360 000 euros sont dédiés à la réalisation d’équipements publics (école, structure petite enfance, résidence logement…) au sein du futur éco-quartier des Docks de Ris.
Aucun logement social, tout le monde le sait à part la candidate de Ris Avenir n’est prévu sur ce nouveau quartier. En revanche, un programme d’accession aidée à la propriété portant sur 20% des logements construits, soient 100 logements, verra le jour pour permettre aux locataires vivant dans les H.L.M. de la ville de devenir propriétaires.
Conclusion : 1/20, avec indulgence, à la candidate Ris Avenir. 1 point car sa propagande comporte une seule et unique vérité : contrairement à ce qu’il affirme, le Maire-adjoint de Bondoufle a toujours soutenu le projet de l’éco-quartier des Docks de Ris au sein de la Communauté d’agglomération Evry-Centre Essonne dans laquelle il siège pour la ville de Bondoufle.
Toujours point de projet, mais beaucoup de verve pour dénoncer ceux des autres.
L’objet de son courroux assez peu mesuré, et surtout très mal renseigné : le Dock des Alcools. Pas facile, il est vrai, de tenter de faire de l’électoralisme avec un projet travaillé depuis 7 années, et concerté avec les habitants depuis le début.
Prétendre que la zone avait été classée par le PPRI en zone inondable est parfaitement mensonger. La zone est située en zone « bleu ciel », depuis toujours, et donc constructible, comme l’attestent tous les documents et plans du PPRI. Le site, comme tout le bas de Ris-Orangis, est, il est vrai, situé en zone à risque. Depuis toujours la proximité du fleuve a donc été prise en compte dans le projet. De nombreuses études ont ainsi été menées : elles permettent toutes la construction de ce quartier, avec un certain nombre de recommandations. La Préfecture, les pompiers (SDIS) ont donné leur feu vert à la réalisation de ce quartier qui prend en compte les risques de crue décennale, les plus hautes eaux connues.
Contrairement au reste du bas de la ville, le futur éco-quartier des Docks de Ris prend donc en compte ces risques, aussi bien dans les constructions prévues, que dans la création de bassins de rétention qui profiteront à l'ensemble du bas de la ville, ou dans la refonte des réseaux d'évacuation des eaux.
Un plan de stationnement et de circulation sur l’ensemble du bas de la ville est actuellement à l’étude, et des ateliers spécifiques ont été organisés sur ces sujets avec les habitants et des professionnels. Des ateliers et réunions auxquels, il est vrai, la candidate de Ris Avenir a brillé par son absence, tout comme d’ailleurs à chacune des 60 réunions de la commission municipale urbanisme (dont elle est membre) organisées durant le mandat, et chargée de faire régulièrement le point sur l’ensemble de ce projet.
Si elle y avait assisté, elle aurait également appris que 500 logements sont prévus sur l’ensemble du secteur Dock des Alcools et CAES, et non 600 sur le seul Dock comme prétendu dans la propagande de Ris Avenir.
Le budget du projet, chiffré à 19 643 000 euros est entièrement supporté par l’aménageur, l’AFTRP, et ne coûtera pas un centime aux Rissois. Prétendre le contraire relève de la malhonnêteté politicienne et de la manœuvre électoraliste.
Sur ce budget, 1 360 000 euros sont dédiés à la réalisation d’équipements publics (école, structure petite enfance, résidence logement…) au sein du futur éco-quartier des Docks de Ris.
Aucun logement social, tout le monde le sait à part la candidate de Ris Avenir n’est prévu sur ce nouveau quartier. En revanche, un programme d’accession aidée à la propriété portant sur 20% des logements construits, soient 100 logements, verra le jour pour permettre aux locataires vivant dans les H.L.M. de la ville de devenir propriétaires.
Conclusion : 1/20, avec indulgence, à la candidate Ris Avenir. 1 point car sa propagande comporte une seule et unique vérité : contrairement à ce qu’il affirme, le Maire-adjoint de Bondoufle a toujours soutenu le projet de l’éco-quartier des Docks de Ris au sein de la Communauté d’agglomération Evry-Centre Essonne dans laquelle il siège pour la ville de Bondoufle.
dimanche 24 février 2008
Monsieur Rouiller une victime?
Résumé des épisodes précédents : en 2001, Monsieur ROUILLER, candidat aux élections cantonales (6% des voix), refuse de choisir entre la droite et la gauche au second tour, et ne prend pas position bien que le candidat de droite bénéficie du soutien du Front National.
En 2008, la loi interdisant à un employé municipal d’être candidat aux élections municipales dans la commune qui l’emploie, et afin de pouvoir être candidat sur la liste communiste à Ris-Orangis, le même Monsieur ROUILLER va voir Georges TRON, Député-Maire de Draveil et patron de l’UMP de l’Essonne, qui rêve de division de la gauche à Ris-Orangis. Celui-ci créé un poste spécifique pour lui qu’il fait voter par son conseil municipal le lundi 11 février dernier.
Aujourd’hui la victime
Sa conception de « l’apolitisme » surprenant de nombreux Rissois, il commence par nier sa mutation! Mais vérité oblige, il doit bien la reconnaître. Nouvelle manoeuvre : quoique lié par l’exécution de son préavis jusqu’au 1er mai 2008, il demande une disponibilité, proposant d’abandonner du jour au lendemain ses responsabilités professionnelles ! Curieuse conception du service public et attitude qui en dit long sur l’attachement qu’il porte à l’exercice de ses responsabilités.
Le Maire refuse cette demande. La loi est la même pour tous, y compris pour Monsieur ROUILLER qui devra assumer ses responsabilités professionnelles jusqu’à leur terme légal.
Morale de l’histoire
Il ne faut pas manquer de toupet pour se présenter comme victime après des comportements aussi sinueux. Des années de service au sein du service public municipal méritait une bien meilleure fin de carrière
En 2008, la loi interdisant à un employé municipal d’être candidat aux élections municipales dans la commune qui l’emploie, et afin de pouvoir être candidat sur la liste communiste à Ris-Orangis, le même Monsieur ROUILLER va voir Georges TRON, Député-Maire de Draveil et patron de l’UMP de l’Essonne, qui rêve de division de la gauche à Ris-Orangis. Celui-ci créé un poste spécifique pour lui qu’il fait voter par son conseil municipal le lundi 11 février dernier.
Aujourd’hui la victime
Sa conception de « l’apolitisme » surprenant de nombreux Rissois, il commence par nier sa mutation! Mais vérité oblige, il doit bien la reconnaître. Nouvelle manoeuvre : quoique lié par l’exécution de son préavis jusqu’au 1er mai 2008, il demande une disponibilité, proposant d’abandonner du jour au lendemain ses responsabilités professionnelles ! Curieuse conception du service public et attitude qui en dit long sur l’attachement qu’il porte à l’exercice de ses responsabilités.
Le Maire refuse cette demande. La loi est la même pour tous, y compris pour Monsieur ROUILLER qui devra assumer ses responsabilités professionnelles jusqu’à leur terme légal.
Morale de l’histoire
Il ne faut pas manquer de toupet pour se présenter comme victime après des comportements aussi sinueux. Des années de service au sein du service public municipal méritait une bien meilleure fin de carrière
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