Résumé des épisodes précédents : en 2001, Monsieur ROUILLER, candidat aux élections cantonales (6% des voix), refuse de choisir entre la droite et la gauche au second tour, et ne prend pas position bien que le candidat de droite bénéficie du soutien du Front National.
En 2008, la loi interdisant à un employé municipal d’être candidat aux élections municipales dans la commune qui l’emploie, et afin de pouvoir être candidat sur la liste communiste à Ris-Orangis, le même Monsieur ROUILLER va voir Georges TRON, Député-Maire de Draveil et patron de l’UMP de l’Essonne, qui rêve de division de la gauche à Ris-Orangis. Celui-ci créé un poste spécifique pour lui qu’il fait voter par son conseil municipal le lundi 11 février dernier.
Aujourd’hui la victime
Sa conception de « l’apolitisme » surprenant de nombreux Rissois, il commence par nier sa mutation! Mais vérité oblige, il doit bien la reconnaître. Nouvelle manoeuvre : quoique lié par l’exécution de son préavis jusqu’au 1er mai 2008, il demande une disponibilité, proposant d’abandonner du jour au lendemain ses responsabilités professionnelles ! Curieuse conception du service public et attitude qui en dit long sur l’attachement qu’il porte à l’exercice de ses responsabilités.
Le Maire refuse cette demande. La loi est la même pour tous, y compris pour Monsieur ROUILLER qui devra assumer ses responsabilités professionnelles jusqu’à leur terme légal.
Morale de l’histoire
Il ne faut pas manquer de toupet pour se présenter comme victime après des comportements aussi sinueux. Des années de service au sein du service public municipal méritait une bien meilleure fin de carrière
En 2008, la loi interdisant à un employé municipal d’être candidat aux élections municipales dans la commune qui l’emploie, et afin de pouvoir être candidat sur la liste communiste à Ris-Orangis, le même Monsieur ROUILLER va voir Georges TRON, Député-Maire de Draveil et patron de l’UMP de l’Essonne, qui rêve de division de la gauche à Ris-Orangis. Celui-ci créé un poste spécifique pour lui qu’il fait voter par son conseil municipal le lundi 11 février dernier.
Aujourd’hui la victime
Sa conception de « l’apolitisme » surprenant de nombreux Rissois, il commence par nier sa mutation! Mais vérité oblige, il doit bien la reconnaître. Nouvelle manoeuvre : quoique lié par l’exécution de son préavis jusqu’au 1er mai 2008, il demande une disponibilité, proposant d’abandonner du jour au lendemain ses responsabilités professionnelles ! Curieuse conception du service public et attitude qui en dit long sur l’attachement qu’il porte à l’exercice de ses responsabilités.
Le Maire refuse cette demande. La loi est la même pour tous, y compris pour Monsieur ROUILLER qui devra assumer ses responsabilités professionnelles jusqu’à leur terme légal.
Morale de l’histoire
Il ne faut pas manquer de toupet pour se présenter comme victime après des comportements aussi sinueux. Des années de service au sein du service public municipal méritait une bien meilleure fin de carrière
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